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Victoire de Trump, défaite du wokisme


Victoire de Trump, défaite du wokisme

L’un des enjeux majeurs de l’élection présidentielle américaine était de mesurer l’adhésion de la population aux théories woke, incarnées par Kamala Harris, candidate démocrate et Tim Walz, son très radical colistier (cf. les délires wokistes de Kamala Harris).

 

Certes, des signaux forts permettaient déjà de penser que le wokisme avait pour le moins un coup dans l’aile depuis quelques temps. L’abandon des politiques DEI par de grandes entreprises (Jack Daniels, Harley Davison, Toyota, Caterpillar, Molson Coors, Tractor Supply et John Deere etc…) en est un, d’autant qu’il a été dicté par la pression des clients, exaspérés par les messages de bien pensance accompagnant leurs achats. La démission des quatre présidentes de prestigieuses universités (Pennsylvanie, Harvard, Cornell, Columbia), empoisonnées par le militantisme woke et les manifestations antisémites liés dans un grand élan intersectionnel, en est un autre.

 

Il n’empêche, la victoire de Trump démontre le rejet ultra majoritaire du wokisme par les électeurs. En effet, non seulement l’écart entre les deux candidats est important, aux alentours de 5 millions de voix semble-t-il, mais il faut considérer en outre que si les électeurs de Trump sont nécessairement hostiles au wokisme (l’incompatibilité est indiscutable !), il s’en trouve aussi dans l’électorat démocrate.


En effet, un sondage de mars 2023 pour USA Today/Ipsos (https://www.ipsos.com/en-us/americans-divided-whether-woke-compliment-or-insult), montre que 25 % des démocrates considèrent le terme comme une insulte et 18 % comme signifiant « être trop politiquement correct et policer le langage des autres ».  


Si bien que l’on peut affirmer sans trop d’hésitations que le wokisme est rejeté par les deux-tiers de la population américaine.


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